Pensées et délires

Publié le par François Ihuel

 

Des fois, comme ça, quelques lumières m'illuminent, la folie c'est l'antidote de la morosité.

 

Pensées et délires

Pensées philosophiques. (Personnelles bien entendu)

 

J'ai passé tout mon temps à marcher sur l'étang gelé de ma vie mais la glace est trop fine pour que je puisse m'arrêter.

 

Avançant sans relâche sous moi se brise la glace en fines couches infinies, trop fragiles je les fuis ces trop fines assises de ma vie.

 

Quand enfin je me suis arrêté j'ai réalisé que l'erreur fut de le vouloir traverser.

 

Ne pouvant continuer, ni revenir, de cette glace brisée alors j'ai sombré, c'est la dernière porte, celle de l'éternité.

 

Humain de peu de valeur, quand tu traverses l'étang de ta vie prends garde à ce que la glace soit assez épaisse et surtout !!!! Tâche d'atteindre l'autre bord.

 

Parti sans rien, j'arrive sans rien, ma vie n'aura été qu'une finalité sans cesse renouvelée.

 

Dieu a fait quelque chose de merveilleux, il a créé les enfants. Hélas, plus tard, par erreur il en a fait des hommes, quel gâchis.

 

Pour vivre heureux il faut de l'espoir, ce sont les rêves. Quand on franchira la dernière porte ils deviendront réalité, ce passage de la mort qui nous fera enfin vivre.

 

À la croisée des heures j'ai manqué le train du retour.

 

 

Dans les dérives de la langue :

 

- Un conflit de religion est qualifié de racisme.

 

- Un phénomène de société c'est du racisme puisque ça implique 80% des délinquants qui sont d'origine étrangère.

 

- Une femme qui aime les enfants c'est une mère maternelle, un homme qui aime les enfants c'est un pédophile.

 

- Un patriote c'est un fasciste, un passeur de sans-papier c'est un humanitaire.

 

- Dénoncer un acte contraire aux institutions c'est de la collaboration, applaudir un terroriste c'est de la fraternité.

 

- Un tueur français c'est un assassin, un tueur musulman c'est un malade mental.

 

Pensées et délires

Pertinences.

 

Quand des conversations on enlève le cul, le fric et le temps qu'il fait, la plupart n'ont plus rien à dire autre que de déconner sur les autres.

 

Ce mec est bizarre, à mon avis il a été livré sans la notice de montage à la naissance, on l'a monté dans le désordre, surtout le cerveau, il y a un sacré merdier là-dedans !

 

Quand on débourre dans son fendard on marche en canard.

 

L'avantage en politique c'est qu'il n'y a pas besoin de PQ, il y a tellement de lèche-culs que même les slips et les chiottes - appelés aussi cabinets - restent propres.

 

À quoi on pense quand on se fait baiser ? En fait quand c'est psychique ç'est douloureux, quand c'est physique c'est voluptueux.

 

Le gros problème de la société c'est d'être condamné à être soupçonné, le jugement est sans appel, définitif et destructeur.

 

Il vaut mieux se taper la cloche que de se taper une cloche.

 

Pensées et délires

Les délices de la grossièreté.

 

- Une branlette de jeune ça colle, une branlette de vieux ça souffle.

 

- Le comble d'un pédé ébéniste c'est de tailler des pipes au bois de Boulogne.

 

- Dire qu'on en a plein le cul ce n’est pas toujours désagréable.

 

- Se faire baratter la momiche à coup de manche à couilles c'est mieux qu'un solo de clito.

 

- La folie c'est un moment d'extase, c'est quand ça s'arrête qu'on se pose des questions sur sa santé mentale.

 

- Il est préférable de se faire bouffer le cul que de se bouffer les couilles.

 

 Bon, allez, pour ce soir ça ira.

 

Putain, j'ai besoin de vacances. 

 

Bientôt le réchauffement planétaire.

 

Bonne soirée à tous.

 

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Publié dans Vie privée

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